Clap de fin de l’édition 2022 du Festival Gabon cultures

C’est le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, du Transfert des technologies, de la Culture et des Arts, Pr. Patrick Mouguiama Daouda, qui a tiré les rideaux sur ces six jours d’expression, présentation, d’exposition et de découvertes des cultures des neuf régions du Gabon.

L’ÉDITION 2022 du premier Festival Gabon cultures s’est achevée dans l’effervescence populaire, le mardi 16 août dernier, à l’esplanade de la « Maison Georges Rawiri » de Libreville.

C’est le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, du Transfert des technologies, de la Culture et des Arts, Pr. Patrick Mouguiama Daouda, qui en a donné le clap de fin de ses jours de valorisation des la diversité cultuelle que regorge les neuf provinces du Gabon. En présence de son délégué, Max Samuel Oboumadjo.

Une première édition qui, de l’avis de la majorité des festivaliers, a été une réussite totale. Les nombreux visiteurs qui y ont fait le déplacement, ont pu apprécier les danses socioculturelles, les mets, les arts plastiques, les sculptures, et d’autres œuvres de l’esprit des talentueux « artistes » venus de toutes les régions du pays.

Le ministre de la Culture, Pr. Patrick Mouguiama Daouda

« Après deux années de Covid-19 où aucune activité n’était possible, il était bien de se retrouver, de donner un espace d’expression à nos différentes activités culturelles à Libreville et à l’intérieur du pays. Donc, je pense que tout le monde a participé. C’est monté progressivement en puissance et tout s’est bien passé dans le calme, sans incident majeur », s’est réjoui le ministre de la Culture.

Les quelques festivaliers rencontrés n’ont pas caché leur satisfaction : « nous avons passés des moments de découverte culturelles et artistiques inoubliables. Félicitations aux organisateurs et, nous sommes déjà impatients de l’arrivée de l’édition 2023 du Festival Gabon cultures », a déclaré un Librevillois.

Vivement que les petits couacs constatés ça et là soient corrigés, pour que la prochaine édition réponde davantage aux attentes du public à travers le pays.

Par Toussaint ABA’A ESSONO

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