Lambaréné : Il tue, viole et décapite une malade mentale
Le présumé auteur de cet acte ignoble serait Paul Tsanga, Gabonais de 41 ans, qui serait lui aussi, un ancien pensionnaire de l’hôpital psychiatrique de Melen, à Libreville.
LE quartier Matériaux, dans le 1er arrondissement de la commune de Lambaréné (Centre du Gabon), était en émoi, il y a peu, avec l’horrible découverte d’un corps sans tête gisant à hauteur d’une menuiserie. Le corps inerte et en décomposition a été identifié comme celui de Marty Ebako, une Gabonaise atteinte de troubles psychiques et mentales.
Elle était très connue dans les artères du chef-lieu de la province du Moyen-Ogooué. Qu’est-ce qui a bien pu arriver à cette jeunes dame malade ? Une interrogation à laquelle personne n’osait reponse sur le lieu de la découverte macabre.
A en croire une source sur place, il a fallu le passage sur les lieux d’un autre malade mentale, qui a révélé aux badauds et enquêteurs présents, la véritable identité du présumé meurtrier en la personne de Paul Tsanga, Gabonais de 41 ans est présumé meurtrier de Marty Ebako. Le « fou » aurait indiqué aux éléments de la Police judiciaire (PJ), qu’il avait aperçu E principal suspect sur le lieu de la découverte macabre.
Le quadragénaire a, ensuite, été interpellé par la PJ pour des raisons d’enquêtes. Selon toujours notre source, sieur Paul Tsanga, aurait d’abord tenté de nier les faits à lui reprocher, avant de passer aux aveux. L’innommable Tsanga aurait tenté de force d’abuser sexuellement de la malade mentale.
Mais, cette dernière a opposé une résistance aux attaques du quadragénaire qui, au finish, s’est servi d’un gourdin, avant de l’asséner mortellement sur la tête Marty Ebako. Une fois que la malade s’est écroulée, Paul Tsanga n’a pas hésité à assouvir sa libido, avant de décapiter la tête de sa victime à l’aide d’une machette.
Il ira, dans la même nuit, dissimuler ladite tête sous le pont du fleuve Ogooué, sis au quartier Isaac. Toujours selon notre source, le présumé meurtrier aurait indiqué aux enquêteurs qu’il était « fou » avant, et qu’il serait même un ancien pensionnaire de l’hôpital psychiatrique de Melen, à Libreville.
Une information qui sera bien scrutée auprès des proches de Paul Tsanga, par les enquêteurs.
La Rédaction