Un élève « cascadeur » du lycée technique national Omar Bongo secouru par le Samu Social après sa chute d’un bus de la Sogatra

LE Samu Social gabonais (SSG) s’est de nouveau illustré positivement, le 29 octobre 2021, en apportant promptement secours à un élève du lycée technique national Omar Bongo (LTNOB) – dont l’identité ne nous est pas parvenue – qui est tombé du toit d’un bus de la Sogatra (Société gabonaise de transport), à Libreville.

L’élève cascadeur est âgé de 19 ans. Nos confrères de « GMT » rapportent que, c’est au cours de leur mission régalienne d’intervention médico-humanitaire, que les équipes du Service d’aide médicale d’urgence du Samu Social gabonais ont porté secours à un élève du LTNOB, âgé de 19 ans, qui est lourdement tombé du toit d’un bus de la Sogatra, dans la journée de vendredi 29 octobre 2021. Le jeune cascadeur a été rapidement conduit aux urgences du Centre hospitalier universitaire d’Owendo ( CHUO), où il a été immédiatement pris en charge.

Aux dernières nouvelles, ces jours ne seraient plus comptés. Toutefois, le diagnostic médical révèle « deux fractures bilatérales des membres inférieurs et un traumatisme crânien », indique une source hospitalière.

Le patron du Samu Social gabonais, Dr. Wenceslas Yaba, contacté par nos confrères de »GMT », précise que « nous étions en intervention chez M. Pambo, à son domicile. Et, à notre retour, un policier nous a signalé un accident sur la voie publique, au niveau de la Fopi ( Force de police d’intervention). Sans hésiter, nous nous sommes vite rendus dans les lieux comme des vrais humanitaires », a raconté le Coordonnateur général du Samu Social.

A noter qu’avant l’arrivée de l’équipe du Samu Social, le jeune inconnu a d’abord été secouru par les badauds, après une alerte donnée par un flic. Au moment où nous mettons sous presse cette information, le jeune compatriote était toujours en soins intensifs et en observation au CHUO.

Un accident qui remet au goût du jour, l’épineux problème de la sécurité des élèves sur le chemin de l’école. Le gouvernement et les parents sont une fois de plus interpellés.