Dialogue national inclusif : Début de la concertation des Oyemois autour du collectif « Trait d’union »

Cette concertation dite de « Nkoum Ekeign », a été ouvert à l’Hôtel de ville d’Oyem, par le gouverneur du Woleu-Ntem, Jules Djéki.

AFIN d’apporter leurs contributions et propositions au « Dialogue national inclusif » initié par les hautes autorités de la Transition au Gabon, les membres du collectif « Trait d’union » organisent du lundi 27 au mardi 28 novembre 2023 à Oyem, une concertation dite de « Nkoum Ekeign ».

Ces assises ont été ouvertes à l’Hôtel de ville du chef-lieu de la province du Woleu-Ntem (nord du Gabon), Jules Djéki, en présence de certaines autorités civiles et militaires, ainsi que les représentants des associations et des organisations non gouvernementales (ONG).

Le dépositaire de l’autorité de l’Etat dans le Septentrion a salué l’initiative du collectif « Trait d’union » qui, a besoin des contributions des uns et des autres dans divers domaines, pour arrêter des meilleures propositions pour le devenir du département du Woleu, de la commune d’Oyem, du Woleu-Ntem et du Gabon tout entier. « Je présume que tous ceux qui ont fait le déplacement ont des contributions à apporter », a voulu savoir Jules Djéki.

Non sans ajouter que, « ce dialogue a ceci de particulier, c’est qu’il est sans barrière. L’occasion nous est donc donnée, non seulement de constater ce qui ne marche pas, mais également de dégager les pistes de solutions ».

Les différents intervenants ont axé leurs exposés autour des thèmes : social et environnement, constitution, code électoral, économie, etc. Occasion pour le président du collectif « Trait d’union », Germain Ebolo, de lancer un appel à toutes les forces vives du département du Woleu, pour s’impliquer et apporter leur expertise à cette démarche collective.

« Votre expertise, votre dévouement et votre engagement sont des piliers fondamentaux pour tracer la voie vers un avenir plus rayonnant pour notre communauté locale et pour notre nation dans son intégralité », a martelé Germain Ebolo.

La Rédaction