Setrag/Journée nationale de la femme : Les cheminotes choyées !
C’est le directeur général de la Société d’exploitation du transgabonais (Setrag), Christian Magni, qui a présidé ces instants récréatifs et de gaieté, mis à profit pour valoriser la gente féminine en service dans cette société ferroviaire.
« LA cheminote en pagne ». Tel était le thème du concours organisé par la Direction générale de la Société d’exploitation du transgabonais (Setrag), le vendredi 22 avril 2022, à la faveur de ma célébration en différé de la Journée nationale de la femme.
Des instants uniques choisis par le directoire de la Setrag, de choyer et de valoriser la gente féminine qui contribue à la vie et au développement quotidien de l’entreprise. Cette cérémonie a été célébrée conjointement le long de la voie ferrée et à salle polyvalente qui jouxte la cantine des travailleurs.
De nombreuses cheminotes ont rehaussé de leur présence, cet événement (une première du genre). Dans son mot de circonstance, le directeur général de la Setrag, Christian Magni, s’est réjoui de se retrouver au milieu des cheminotes enthousiastes et qui voulaient profiter pleinement de ces retrouvailles loin de leurs bureaux, machines et rails. Le patron de la Setrag a rassurer toutes les femmes ayant pris part au concours du « meilleur foulard attaché », qu’en définitive, il n’y aura aucune perdante et que, le seul gagnant sera la Setrag. La présidente de l’Association des femmes cheminotes, Josiane Kinga Delalain, après avoir la minute de silence dédiée aux défunts cheminots, a souhaité une excellente Journée nationale de la femme à toutes ses congénères.
A noter qu’au terme du concours qui a mis aux prises 27 participantes, Marlyse Nguema, Darla Mindzombo et Marie Madeleine Okogo ont été remporté les trois premiers prix. Elles ont été choisies par les six membres du jury. Le reste des participantes au concours a été congratulé par plusieurs lots. Une soirée qui s’est achevée autour d’un copieux repas offert par la direction générale de la Setrag.
Par Toussaint ABA’A ESSONO