Sup de Com : Les meilleurs étudiants d’Oyem récompensés
L’ÉCOLE supérieure Commerce et Management (Sup de Com) d’Oyem a clôturé en beauté, le 30 juillet 2021, l’année académique 2020-2021, par la remise des résultats de fin d’année et des diplômes aux étudiants les plus méritants.
En présence du secrétaire général de province du Woleu-Ntem, Côme-Clément Bibang et du député du 3e siège du département du Woleu, Serge Ndong Obame. La première phase de clôture de l’année académique avait débuté, en réalité, le 24 juillet, par la présentation des Mémoires des étudiants de niveau Master, option gestion des ressources humaines (GRH) et Management des organisations.
Au cours de cette cérémonie, la mention spéciale est revenue à l’étudiante, Orphelia Ebanet, qui a obtenu une moyenne annuelle de 14,78/20. Elle est inscrite en Licence 2 tronc commun.
Occasion pour le directeur général de Sup de Com Oyem, Camille Ambassa, non seulement, de remercier tous ceux ont rehaussé de leur présence à cette cérémonie, mais également, de féliciter les étudiants qui se sont distingués au cours de cette année académique 2021. « Je suis très heureux surtout par le travail réalisé aussi bien par le personnel enseignant et administratif, que par les étudiants », s’est réjoui le DG.
Au vue des résultats enregistrés cette année, Camille Ambassa, n’a pas manqué de reconnaître que son établissement est en nette progression de l’ordre de 90%. A ce jour Sup de Com d’Oyem compte un effectif total de 42 pensionnaires répartis dans les filières Licence 1 et 2 (Tronc commun), Licences en gestion spécialisée (gestion logistique et transport, ressources humaines, commerce et marketing, techniques comptables et financières, unités Agro industrielles, Agro pastorale).
Sans omettre l’offre de formation en Master 1 et 2, notamment en banque et assurance, entrepreneuriat et création des entreprises, etc. Le directeur général, Camille Ambassa, a rappelé que Sup de Com a été créée en 2001 par les universitaires nationaux, notamment les enseignants de l’Institut national des sciences de gestion (INSG), pour remédier à l’insuffisance de l’offre de formation constatée dans notre pays.