Sylvia Bongo Ondimba : « Investir en Afrique pour nos petits, plus que nulle part ailleurs, est une condition d’avenir pour notre continent »

La Première Dame du Gabon a fait cette déclaration du haut de la tribune de la Conférence mondiale de l’Unesco sur l’éducation et la protection de la petite enfance, à Tachkent, en République d’Ouzbekistan.

DU 14 au 16 novembre dernier, la Première dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba, a pris part à la Conférence mondiale de l’Unesco (Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture) sur l’éducation et la protection de la petite enfance, à Tachkent en République d’Ouzbekistan.

Elle y a été conviée en sa qualité, non seulement de Première dame du Gabon, mais également de responsable de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille. Du haut de la tribune de l’organisme onusien, la représentante du Gabon à ce rendez-vous planétaire aux autres convives, son engagement personnel en faveur du quatrième objectif de développement durable.

Le principal objectif de ce sommet était de « renouveller et d’étendre l’engagement des États membres, à développer des politiques d’éducation et de protection de la petite enfance, à établir des systèmes efficaces et responsables, à construire des partenariats multipartites, ainsi qu’à augmenter et à améliorer l’investissement dans l’éducation et la protection de la petite enfance, en tant que composante essentielle de leurs stratégies nationales ».

Occasion pour Sylvia Bongo Ondimba de déclarer que, « une politique de la petite enfance bien menée est une contribution notable à la prévention des inégalités sociales. Si nos enjeux sont partagés, si nous nous battons pour les mêmes objectifs. J’aimerais rappeler qu’investir en Afrique pour nos petits, plus que nulle part ailleurs, est une condition d’avenir pour notre continent. Pour faire plus, pour faire mieux, vos préconisations nous seront indispensables ».

A travers ces mots, la Première Dame du Gabon s’est également engagée pour une éducation « plus bienveillante, plus adaptée, plus inclusive ». Au cours de son intervention, elle n’a pas manqué de rappeler l’importance accordée par le Gabon en matière des droits des mères, de la santé maternelle et infantile.

« Protéger les mamans contribue à soutenir les enfants dès le bas âge et à mieux les accompagner dès les premiers pas de leur apprentissage », a martelé la Première Dame du Gabon. Elle s’est ainsi engagée à poursuivre le combat aux côtés de ses pairs du continent africain ce, pour faire bouger les lignes, changer la donne et offrir aux enfants un environnement propice à leur épanouissement.

Par Emmanuel EBANG MVE

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