Setrag : Le renforcement de la sécurité des rails suit bon train
A travers ses travaux d’Hercule, le directeur général de l’entreprise, Christian Magni et ses collaborateurs veulent atteindre l’objectif : zéro accident pour l’année 2022 en cours.
LA Société d’exploitation du transgabonais (Setrag) poursuit ses travaux d’Hercule pour la sécurisation de la voie ferrée et ses abords, afin d’atteindre l’objectif fixé en début d’année en cours : zéro accident en 2022. Un travail fastidieux lancé par le directeur général de l’entreprise, Christian Magni, pour prévenir d’éventuels accidents tout le long du chemin de fer.
Mieux, les travaux consistent à la rénovation et à la sécurisation des passages à niveau et à la réfection des canalisations d’eau. C’est dans cette optique qu’une délégation RSE de la Setrag était en visite d’inspection, le 19 août dernier, sur l’axe de la voie ferrée ralliant le Pk 0 au PK 26.
Le but de cette visite : toucher du doigt de l’état des travaux entamés depuis quelques temps. Le constat qui s’est dégagé est que les travaux vont bon train.
L’entreprise Equaco SARL, adjudicataire desdits travaux a pu réaliser une canalisation d’eau au PK 12, juste à hauteur d’un lac situé à proximité de la voie ferrée. Mais aussi, un passage à niveau dans la zone de Nkoltang-rails (à l’endroit où s’était déroulé l’accident qui avait coûté la vie aux membres d’une même famille, il y a quelques années).
La direction générale de la Setrag rappelle que les travaux qui se font actuellement répondent à la politique RSE de l’entreprise pour appuyer l’État gabonais dans ses missions régaliennes. Les populations rencontrées n’ont pas manqué d’exprimer leur soulagement au vue des travaux de qualité qui sont en train d’être réalisés par la Setrag.
La direction générale de l’entreprise rappelle qu’en 2014, au cours de l’accident mortel, il n’existe guère de passage à niveau à cet endroit. A la suite du sinistre, la Setrag a dû créer un passage à niveau de classe 1, pour faciliter une meilleure circulation des populations.
Par Chrisaint Messie NKILI EBANG
