Football/Junior Bayhano Aubyang : « Je reviens bientôt sur le terrain »

Le milieu de terrain et/ou attaquant de l’US Bitam (USB) s’est confié à Jouractu, au cours de la rencontre de la 6e journée du National-Foot 1 entre son club et l’AO CMS (0-0), le 28 décembre 2024, au stade Gaston-Peyrille de Bitam.

Jouractu. Pourquoi Junior Bayanho ne joue-t-il pas toujours avec son nouveau club US Bitam après 6 journées du Championnat-National ?

Junior Bayanho Aubyang. « Ce qui se passe, c’est que pour le moment, le Certificat international de transfert n’a pas été délivré. C’est qui m’empêche de m’exprimer sur le terrain pour le moment. Mais, le staff et toute l’équipe du bureau directeur sont en train de tout faire pour que les choses rentrent dans l’ordre le plus rapidement possible.

Jouractu. Ça bloque à quel niveau ?

– Je ne pense pas avoir la maîtrise exacte de la situation. Ce que je sais, c’est que ça se bouscule et que ça devrait normalement être disponible avant le week-end prochain (NDR l’interview s’est déroulée le 28 décembre 2024 à Bitam). Pour dire que je reviens bientôt sur le terrain.

Jouractu. Que pensez-vous de la situation que traverse votre club US Bitam en ce début de Championnat ?

– On essaye de rester concentré, parce que derrière, il y a une compétition qui se joue. Quand elle ne s’arrête pas, il faut qu’on réponde présent. Après, on essaye de faire des efforts. L’équipe aussi essaye de nous accompagner. On comprend la situation du club. On comprend la difficulté dans laquelle nous tous, nous nous trouvons, parce que c’est notre équipe. On essaye de faire face à certaines réalités ce, tant bien que mal.

Jouractu. Avec ce manque de temps de jeu au sein de l’US Bitam, est-ce que vous pensez toujours à l’équipe nationale « Les Panthères »?

– Junior Bayanho a toujours les mêmes objectifs pour cette saison. Ils ne changent pas. Juste que, comme on le dit : « L’homme propose et Dieu dispose ». On prie, on garde le moral, on essaye de rester focus. Même si c’est difficile de regarder les autres jouer et ne pas jouer, c’est quand-même compliqué. On ne peut nous appeler aussi à l’équipe nationale que si l’on s’exprime aussi sur le terrain. On reste tout de même positif, et on se dit que ça va arriver. Et, quand ça arrivera, il faudrait que l’on soit prêt ».

Propos recueillis par : La Rédaction

Pour la couverture médiatique de vos événements, contactez-nous au : 077912185 – 065208582 – 066361953. Merci.